« Produire des carburants bas carbone grâce à l’économie circulaire »
Ecoslops fait entrer le pétrole dans l’économie circulaire grâce à une technologie innovante, permettant de produire du carburant et du bitume léger à partir de déchets pétroliers et d’huiles de vidange. Les solutions proposées par Ecoslops reposent sur un procédé industriel unique de micro-raffinage de ces résidus pour les transformer en produits commerciaux de 2ème génération aux standards internationaux. Ecoslops offre aux collecteurs de résidus, aux infrastructures portuaires et aux armateurs une solution économique et plus respectueuse de l’environnement.
Ecoslops propose deux solutions adaptées à la quantité de déchets à traiter :
Avec une capacité nominale de 30 000 tonnes de résidus déshydratés par an, le P2R permet aux ports collectant d’importantes quantités de résidus hydrocarburés – d’origine maritime ou terrestre, d’en assurer le traitement et de produire à partir de ces déchets de nouveaux carburants bas carbone.
D’une capacité annuelle de 7 000 tonnes, la Scarabox est une version containérisée clé en main de notre technologie P2R. Traitant à la fois les résidus pétroliers et les huiles de vidange, la Scarabox permet elle aussi de créer de la valeur localement en produisant, à partir de ces résidus, des carburants bas carbone conformes aux standards internationaux.
Seule technologie au monde permettant de produire – à partir de déchets – de nouveaux carburants conformes aux normes internationales, les solutions Ecoslops présentent de nombreux avantages environnementaux :
– Trois fois moins d’émissions de GES pour produire des hydrocarbures.
– Jusqu’à 22 ktCO2eq de GES évités par an pour un site de production de la taille de La Mède (France), soit le traitement de 30 000 tonnes de résidus par an.
– Traçabilité complète du processus de traitement des déchets, en accord avec les réglementations internationales sur le traitement des déchets dangereux
Déchet / Recyclage, réemploi et réutilisation
« Produire des carburants bas carbone grâce à l’économie circulaire »